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Chasing a feeling ★ Melchior Somerset
No matter what we breed, we still are made of greed

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Elizabeth Donovan

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Chasing a feeling  ★  Melchior Somerset _
MessageSujet: Chasing a feeling ★ Melchior Somerset ★ Lun 27 Déc - 0:01

I'd give you my life from now till forever, I'm falling in love with you over and over again.


1er décembre 2021 ★ @Melchior Somerset

Ses pas, branlants comme une vieille commode, laissent des traces dans la neige au fur et à mesure qu’elle avance. Peu sûre, elle l’est. Elle l’est depuis qu’elle a quitté sa petite bicoque. Anxieuse. Mille et unes questions aux lèvres. Bien sûr, elle a prévenu son fils. « Will you meet me there, again ? » lui a t-elle demandé, les yeux mouillés, la séparation se faisant difficile pour elle. Elle l’a déjà perdu tant de fois. Elle ne survivrait pas à une de plus - ils le savent tous les deux. Six lunes. C’est pourtant le temps qu’elle s’est accordée pour ses réponses. Six lunes pour trouver une trace, infime, ou revenir et clore à tout jamais le chapitre de son histoire.

* * *

Elizabeth observe autour d’elle. Emmitouflée dans son manteau d’hiver, elle regarde la végétation s’étoffer, se défaire, les branches les plus fines des arbres dénudés danser au gré de la douce brise. La paysage lui semble familier mais, pour le moment, elle préfère ne pas s’accorder trop d’espoir. Sa vie d’avant fut longue, après tout. Il est tout à fait normal de confondre les lieux. Elle laisse une respiration s’envoler, créant de la vapeur qu’elle regarde disparaître dans l’infini bleu du ciel. L’hiver est bien présent, le froid avec lui, pourtant elle ne peut s’empêcher de trouver cela beau. Un mois s’est écoulé depuis son départ. Pas un jour elle ne cesse de penser à son fils et elle lui écrit dès qu’elle le peut - quand l’aventure se présente assez à elle tout du moins, le tenant informé de ses étapes - les villes passées, les rencontres, ne pouvant s’empêcher de soigner les personnes dans le besoin qu’elle croise. Celle qui fut autrefois son amie fut cependant claire sur ses indications et ainsi essaie-t-elle de ne pas trop dévier de sa route. Le Sud. Le sud qui l’a, étrangement, tant effrayée quelques années en arrière. Mais elle en a assez. Assez des cauchemars. Assez de cette ombre insaisissable qui la suit. Assez de cette voix qui la hante sans qu’elle ne parvienne jamais à remettre les octaves. Assez de brûler pour un être chimérique dont elle ne se souvient pas au réveil. Assez d’espérer … assez de fuir, surtout. Le Sud, avait dit Anne. Bien. Elle y était. Et maintenant ?

* * *

Elle s’est arrêtée pour manger un petit bout. Tenant à faire le voyage à pied, elle a étrangement retrouvé dans cette aventure une sorte de seconde jeunesse qu’elle pensait avoir perdu. Bien sûr, ses blessures, invisibles en grande partie désormais, la lancent encore parfois. Le froid - l’humidité - n’aide pas en ce sens. Mais elle est têtue - plus que son fils, comme si cela était possible - et ainsi a-t-elle continué malgré tout son voyage. Quitte à se perdre. Comme maintenant. Son bonnet laissant échapper ses boucles folles qui lui mangent une partie de la vue, Elizabeth examine sa carte, sourcils froncés, son petit v soucieux entre ses sourcils se creusant tandis que ses yeux sont à la recherche de noms qui l’appellent. Peine perdue et elle soupire. Bien. Le Sud. La belle affaire ! C’est grand, le Sud. Elle se mord la lèvre. Reprend finalement sa route, au hasard. Parfois, il faut savoir se perdre pour retrouver sa voie, disait son père. S’il savait. Il n’a jamais eu plus raison qu’en ce jour mais, cela, elle ne le sait pas encore.

* * *

Elle a continué son chemin, un pas après l’autre, fredonnant un air pour se donner du courage, sa petite valise ensorcelée dans sa main. Elle n’a pris que le nécessaire vital, ses plantes, ses potions, quelques affaires qui ne pèsent guère lourd. Pourtant, lorsqu'elle se trouve enfin là, sa valise tombe dans la neige comme si elle pesait plus d'une tonne. Un bruit qu'elle n'entend pas. Le chemin qui l'a amené à la bâtisse, elle ne saurait s'en souvenir. « You will know when you will be there » avait dit Anne. En effet. En effet, ses pieds se sont mis à courir, à retracer une route autrefois connue par coeur, une route que son cerveau refuse, une route que son âme a engravé. Peut-être est-ce pour cela que son coeur palpite. Peut-être est-ce pour cela qu'elle a envie de pleurer. Ca où le fait qu'à bout de souffle, elle s'attend à voir surgir deux enfants des bosquets. Deux petites filles. Elizabeth ferme les yeux. Inspire à fond. Laisse les souvenirs, flous, brouillés, revenir tandis qu'elle se tient là, face à face avec la façade un brin délabrée. Il y'avait un jardin entretenu avant. Là, des rosiers. Elle le sait. Le devine. Où sont-ils passés ? Elizabeth respire à nouveau et, soudainement, se fige. Inconsciente que sa magie cherche elle-même les bribes du passé, s'y reconnecte, elle se retourne finalement, volte face rapide, non maitrisé. Derrière elle, une présence. Une haute stature, le genre à apparaitre en rêve. Et si son coeur bat un peu plus rapidement, c'est un air affolé, méfiant et puis finalement honteux qui vient se figer sur ses traits. Parce qu'elle n'est plus seule. Parce que, et manifestement, elle est entrée sur un terrain privé. Car l'homme qui lui fait face à quelques mètres et dont elle a du mal à percevoir le visage n'est définitivement pas un sorcier. Et il lui faut désormais toute sa force de caractère pour se recomposer un visage correct ... Et plus encore pour garder un ton égal.

« I'm ... I'm sorry. I ... Hrm. Hello. I'm sorry to intrude. This house ... Strange thing to say, but this house called me. Do you, by any chance, know its owner ? If he's still alive I ... I would love to talk to him. »

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MessageSujet: Re: Chasing a feeling ★ Melchior Somerset ★ Mar 4 Jan - 22:15

We said goodbye, that's what you told me once, so many times we've made our peace. But this is love, I'll never give you up, I know you'll always come home to me


1er décembre 2021 ★ @Elizabeth Donovan

Go home. » Le conseil avait sonné comme un ordre. Sa soeur avait décidé de remonter au Nord, sur la piste de sa femme perdue. Une obscure histoire de cabaret comme seules ces deux-là auraient pu en pondre. Lui se noyait dans le travail, comme il l’avait toujours fait quand ses propres pensées le dévoraient. Pourtant bizarrement, quand elle lui avait ordonné ça d’un ton péremptoire, il avait su directement de quel lieu elle parlait. Il n’y avait qu’un seul endroit au monde qui était la maison.

Retourner chez lui. Pour y faire quoi ? Pour y trouver qui ? Le vide là-bas semblait l’engloutir tout entier. Le silence était mortuaire, et des fantômes l’attendaient à chaque angle. C’était devenu une bâtisse fantôme, un écrin magnifique pour enterrer des souvenirs auxquels il se sentait doucement renoncer. L’espoir est une force immense, mais elle a le défaut de s’effriter à l’épreuve du temps. Presqu’un demi siècle. D’espoir à désespoir, il n’y a que la limite fine d’une ultime déception.

Il y retournait, parfois. Quand le monde entier lui devenait invivable, il se retirait dans cette maison qu’il haïssait tant qu’il l’adorait. Il l’avait retrouvée relativement intacte, à l’exception du jardin qui avait souffert de l’abandon des années. Alors il trouvait dans trouvait dans l’entretien de ce jardin la paix des tâches simples. Chaque mixed border, carré de potager ou rosier sauvé, c’était un peu de son monde qu’il rebâtissait. Une forme de deuil, sans doute. Le deuil lent et laborieux d’une vie qu’il avait cru pouvoir retrouver et qui s’évaporait lentement.

Peut-être avait-elle vraiment disparu.
Peut-être l’avait-elle vraiment oublié.
Peut-être était-elle vraiment perdue.

« Go home. » Il avait obéit. Pourquoi ? Il ne saurait le dire. Il avait rassemblé quelques affaires, était parti sur les routes, en plein milieu d’un hiver particulièrement rigoureux. Comme beaucoup de son espèce, il craignait la lumière et l’attention; l’hiver offrait l’excuse parfaite de s’emmitoufler jusqu’à ce qu’on ne distingue plus qu’un regard d’acier entre un capuchon de feutre et une écharpe en point de marin. Il avait traversé la moitié Sud d’Albion aux allures assurées d’un de ces solides chevaux de travail, doux géants qui avaient retrouvé leur utilité fondamentale dans un monde revenus aux âges sombres.

Dans le chemin qui serpente, il remarque dans la neige des traces de pas, fraîches. Trop. Ses narines frémissent, cherchant dans l’air la trace de cette intrusion. Le filet d’un parfum qu’il détecte le fige sur place. Il y a dans ces saveurs le souvenir lointain d’autre chose. La poussière sur les livres. La roseraie à l’aurore. Un baiser au creux du cou. Il met pied à terre, continuant sur le chemin à pied, dépassant une valise abandonnée. Les traces dans la neige se font plus lointaines et plus profondes, signe qu’on y a couru. Finalement il s’arrête, l’hongre l’imitant derrière lui en s’ébrouant doucement.

Lorsqu’elle se retourne, les rênes lui glissent des mains. Plonger son regard dans cette paire d’iris, c’est comme regarder dans le miroir trouble d’un passé qui leur échappe. Un frisson glacé le paralyse de la tête au pied, sa main retombant, inerte, le long de son corps. Cette voix… Il en pleurerait s’il n’était pas foudroyé. Pourtant ce n’est ni de la joie, ni du soulagement, ni de la tristesse. Juste une terreur pure, de celle qu’il n’a plus ressentie depuis celle, brutale, crasse et instinctive, qui lui serrait les entrailles à son réveil. Celle-ci pourtant un sournoise, s’enroulant autour de son coeur comme les serres acérées d’une harpie. Car ce regard… ce regard passe à travers lui, sans le voir.

S’arrachant à cet accès de stupeur, il lève des iris sombre vers un ciel bas, de ces ciels chargés des journées d’hiver. Alors d’un geste il dénoue l’écharpe, le capuchon glissant dans son dos. Et répond, avec dans sa voix au ténor chaud tout le calme qu’il peut convoquer compte-tenu de ce que l’univers vient de lui jeter au visage. « It’s  — It’s alright, don’t worry. » Jouer le jeu. Aussi cruel était-ce, il devait suivre le mouvement. « And you are talking to him. » Pourtant son esprit en détresse cherche dans chaque syllabe un filament d’espoir auquel se raccrocher. Et il n’est pas meilleure imagination que celle d’un homme que vient d’engloutir le désespoir. « It called to you ? »

Un ébrouement derrière lui fait éclater cette bulle infernale. Il jette un oeil à son cheval qui cherche des naseaux un brin d’herbe ayant survécu à la neige, puis revient sur — rien qu’y penser est douloureux — Elizabeth face à lui. Si frêle. Si pâle. Si perdue. Il doit mobiliser chaque fibre de son être pour ne pas aller l’enfermer dans ses bras, et proposer à la place, « my horse is exhausted and the house is always open to travelers. » Spoiler alert : pas du tout. Mais l’impératif exigeait l’exception. « Maybe you’d like to take a break ? Have some tea, maybe have a peek inside if the house seems familiar ? »

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MessageSujet: Re: Chasing a feeling ★ Melchior Somerset ★ Sam 8 Jan - 21:58

I'd give you my life from now till forever, I'm falling in love with you over and over again.


1er décembre 2021 ★ @Melchior Somerset

Qui est-ce ? Elizabeth fixe l’homme de si haute stature, sa respiration s’accélérant - il n’y a qu’à observer les petites volutes de vapeur qui s’échappent de ses lèvres en saccade pour le savoir. Qui est-ce ? Son cœur s'échappe lui-même, martèle, sa main venant inconsciemment le soutenir car la douleur est telle que … Qui est-ce ? Devant ses yeux, un flash. Trop rapide pour qu’elle le saisisse, elle sent pourtant un sourire sur des lèvres fantômes qu’elle aimerait capturer ; qu’elle aimerait faire siennes.

Qui est-ce ? Elizabeth se reprend. Déglutit. Son regard vole sur la stature, elle se mord désormais la lèvre. Vampire, lui chuchotent tous ses sens en alerte, et elle a pour premier réflexe de faire un pas en arrière. Idiote. Comme si elle pouvait échapper à pareille créature s’il décidait de la prendre en chasse. Mais Anne lui voudrait-elle du mal de cette manière ? Elle peine à le croire. Et puis, ses yeux retrouvent les siens. Elle s’y perd. Elle s’y noie. Car dans ses iris, il n’y a que de la douleur, un cri muet, un chant d’espoir qu’elle ne comprend pas. Mais il n’est pas un ennemi, non. Qui est-ce ? La question lui brûle l’âme.

I used to live there. » Sa voix a retrouvé le chemin vers ses lèvres alors qu’elle le quitte pour contempler la bâtisse. Qu’elle la caresse du regard. « I don’t remember when. But I know this land has won my heart more than once. » Elizabeth soupire. Un étrange sourire sur les lèvres, elle hésite, mesure les réponses qu’il offre sans froncer un sourcil. Ainsi a-t-il fait de cette bâtisse sa demeure. Étrange. Les vampires ne viennent pas se mêler aux sorciers et inversement à l’habituel. Mais depuis quand suis-tu les règles ? murmure une voix sourde, celle qui détient les réponses fragmentées qu’elle recherche depuis 5 ans.
« You’re lying, my lord. » Sa voix, douce mais moqueuse, résonne soudain, tandis qu’un sourire triste étire ses traits. Ses bras se croisent sous sa poitrine tandis qu’elle se redresse, fière et droite, ses yeux venant retrouver les siens dans un air de défi - parce que s'il elle semble perdue, elle n'est pas si idiote que ça. « About the house, I mean. » Elle penche la tête, son sourire étrange s’accentuant tandis qu’elle souffle doucement, sa prise se resserrant sur ses propres poignets. Par tous les êtres qui existent, plus que la maison, il semble émaner quelque chose qui la pousserait presque à venir le rejoindre. Presque. Parce qu’elle n’est pas si suicidaire qu’on ne pourrait le croire. Et puis, c’est chose normale, pour les vampires, que d’attirer ainsi leurs proies par leur charisme ou le ton chaud de leur voix. N'est-ce pas ?

If it was opened then … Its energy will be different. There is no lives, here, I am afraid. » reprend t-elle sans bouger d’un iota. Peut-être qu’un silence suit sa déclamation. Le vent, dans tous les cas, vient lui apporter son odeur en plein visage et la voilà soudain à perdre ses moyens. Une seconde suffit ; elle s’en étrangle intérieurement. Parce que cette odeur lui semble si familière qu’une nouvelle fois son cœur semble faire un soubresaut de cabri. « Who are you ? » La question murmurée lui échappe tandis qu’elle semble se battre contre quelque chose d’invisible ; question qu’elle rétracte presque aussitôt. A nouveau, un voile de méfiance sur son visage - mais peut-être est-il trop loin pour le voir. « … You will not eat me, will you ? ... I know that I can … smell good but trust me. I’m not that good in taste. Well. Unless you like lichen and garlics. Which I strangely highly doubt. » Et, comme par magie, un nouveau sourire - le genre à illuminer un phare. « After all, you are a vampire, aren’t you ? » Et, soudainement, elle a envie de courir. Mais pas dans le sens inverse, non. Vers la porte. Idée affreusement dérangeante, la voilà à avoir envie de titiller l’homme, à voir ses limites. Si elle se met à courir maintenant, gardera-t-elle l’effet de surprise ? … Par toutes les plantes de ta connaissance, Elizabeth. L’odeur de cet homme est plus dangereuse que tu ne le crois pour te retourner ainsi l’esprit.

Qui est-ce ? Elizabeth n’a pas la réponse. Dans sa tête, elle entend des éclats de rires mais son coeur semble se calmer. Ses yeux, enfin, parviennent à quitter l’hôte pour la bête et elle secoue doucement la tête, un brin dépitée. « In the old days your horse would have been treated well. … And you are right. We need a break. I suppose I can have a cup of tea - this won’t kill me - If you do not mind my smell at last … But I am not sure about the peek. It’s not … It’s not home anymore and I don’t want to intrude more than decorum demands. »


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